Poppy a récemment été cité par le site Forbes dont voici l’article : https://www.forbes.com/sites/darrynking/2025/01/01/from-poppy-to-the-beatles-what-happened-in-music-on-january-1/
Voici la traduction de l’article :
Bien sûr, voici la traduction en français :
Salut, je suis Poppy. Salut, je suis Poppy. Salut, je suis Poppy.
Tu aimes Grimes, Dorian Electra et explorer la vallée de l’étrange lors d’une crise existentielle à minuit ? Alors tu vas adorer Poppy, qui mêle visions apocalyptiques et touches de bubblegum pop.
Genres : Hyperpop, metal industriel, synthwave existentielle, AI-core avant-gardiste.
Poppy, née Moriah Rose Pereira en 1995, a commencé sa carrière avec des vidéos YouTube minimalistes et inquiétantes, mélangeant une candeur enfantine à des nuances troublantes. Son premier album, Poppy.Computer (2017), l’a présentée comme une provocatrice pop excentrique, mais c’est avec son incursion dans le metal sur Am I a Girl? (2018), puis de manière plus approfondie sur I Disagree (2020), que les fans ont découvert « la vraie Poppy ».
Si tant est qu’elle existe. « Je maintiens que tout le monde porte un masque dans le milieu du divertissement, » m’a-t-elle confié il y a quelques années. « Je sais que c’est vrai pour moi en ce moment. Chaque fois qu’un micro ou une caméra est devant quelqu’un, vous ne voyez pas 1000 % de cette personne. Vous ne voyez pas le masque tomber. C’est juste une autre forme. »
Son projet le plus récent est la série télé Improbably Poppy, qu’un commentateur sur YouTube a décrit comme « ce que donnerait Eric Andre s’il était tout mignon et ne prenait pas de hallucinogènes ». Regardez-la ici.
Joyeux anniversaire, Poppy !
Le saviez-vous ?
La première vidéo virale de Poppy était Poppy Eats Cotton Candy, qui a accumulé des millions de vues grâce à sa simplicité étrange.
Leçon de vie du jour, inspirée par Poppy
N’aie pas peur de tout brûler et de repartir à zéro.
Album incontournable de Poppy
Avec l’intensité d’un incendie à trois alarmes dans un magasin de bonbons, I Disagree (2020) marque l’embrassement complet par Poppy du metal industriel, tout en conservant des traces, contre toute attente, de ses racines pop inspirées par Brian Wilson. Des morceaux comme BLOODMONEY regorgent de riffs de guitare tranchants et de commentaires acerbes sur le capitalisme. Derrière les théâtralités inquiétantes se cachait une jeune femme trouvant ses marques.
Si tu n’écoutes qu’une seule chanson de Poppy
Concrete est l’essence même de Poppy : un chaos de metal industriel ponctué de guitares dignes de Brian May et d’une pop sucrée. La coda te fera joyeusement déambuler dans la rue en chantant « Cover me in concrete. »
Avec son esthétique de poupée et son personnage énigmatique, Poppy ressemble à une héroïne tout droit sortie d’un anime dystopique sur l’obsession humaine pour la technologie. Connue initialement comme une curiosité YouTube mêlant surréalisme et satire, elle s’est transformée en une musicienne inclassable dont le travail oscille entre hyperpop, metal et art-rock expérimental.
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